Page:Arnal - La Maison de granit, Plon-Nourrit.djvu/140

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

Voyez, je reste là, confiante et sereine !
Je sais qu’un soir viendra, plus clair que tous mes jours
Où vous m’emporterez vers la cité lointaine
Dont la nuit n’a jamais voilé les fières tours.