coup de variations pour la proportion relative des guérisons que chaque mois fournit. Tout ce qu’on peut en déduire, c’est que les mois de janvier et de février se trouvent presque toujours en dernière ligne, tandis que les mois d’août, octobre et juillet occupent ordinairement le premier rang. Voyons si en rangeant les mois en saisons, comme nous l’avons fait pour 1839, nous arriverons à quelque chose de plus constant.
1831 à 1838. | Esquirol. | Desportes. | Bouchet. | Bertolini. | Bonacossa. | Greco. | Totaux. | ||||||||
Automne. |
395 | 85 | 321 | 8 | 14 | 70 | 64 | 562 | |||||||
Été. |
383 | 79 | 308 | 12 | 24 | 88 | 34 | 545 | |||||||
Printemps. |
254 | 59 | 280 | 7 | 9 | 89 | 22 | 466 | |||||||
Hiver. |
234 | 61 | 215 | 5 | 8 | 41 | 37 | 367 | |||||||
Totaux. |
1266 | 284 | 1124 | 32 | 55 | 288 | 157 | 1940 |
L’automne a fourni le plus grand nombre de guérisons sur le relevé des années écoulées de 1831 à 1838 ; il est aussi en première ligne dans la colonne qui réunit toutes les statistiques, ainsi que dans celles de MM. Esquirol, Desportes et Greco ; dans les trois autres, celles de MM. Bouchet, Bonacossa et Bertolini, c’est la saison de l’été qui se trouve au premier rang. L’hiver vient