en dernier lieu pour tous ces relevés, à l’exception de celui de M. Greco, où le minimum est pour le printemps. Ces résultats sont à peu près en harmonie avec ceux de l’année 1839. Si nous mettons maintenant en regard la proportion que donnent les mois les plus chauds et celle des mois les plus froids, nous verrons que le minimum correspond toujours à ces derniers.
1831 à 1838. | Statistiques réunies. | ||||||||
MOIS FROIDS. | MOIS CHAUDS. | MOIS FROIDS. | MOIS CHAUDS. | ||||||
Janvier, | 156 | Avril, | 72 | 100 | 142 | ||||
Février, | 115 | Mai, | 79 | 115 | 164 | ||||
Mars, | 88 | Juin, | 89 | 160 | 175 | ||||
Octobre, | 73 | Juillet, | 134 | 206 | 186 | ||||
Novembre, | 73 | Août, | 160 | 169 | 184 | ||||
Décembre, | 103 | Septembre, | 124 | 152 | 187 | ||||
608 | 658 | 902 | 1038 |
Il est juste de reconnaître d’après tous ces calculs que la température élevée est une circonstance très favorable à la guérison de l’aliénation mentale. Toutefois, il ne faut pas ignorer que l’on hésite souvent pendant la mauvaise saison à rendre la liberté à quelques aliénés guéris, dans la crainte que la misère ne les fasse retomber dans leur premier état.
C.Après avoir déterminé dans le chapitre des