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II.
Que les contes dont on recherche désespérément l’origine et le mode de propagation ne sont caractéristiques d’aucun temps, d’aucun pays spécial
III.
Pour ces contes, que peut-on espérer des méthodes de comparaison actuellement en honneur ? Critique de ces méthodes : leur stérilité montrée par un dernier exemple, tiré de l’étude du fabliau des Trois dames qui trouvèrent un anneau
IV.
Conclusions générales
V.
Que ces conclusions ne sont pas purement négatives
étude littéraire des fabliaux
que chaque recueil de contes et chaque version
d’un conte révèle un esprit distinct,
significatif d’une époque distincte
d’un conte révèle un esprit distinct,
significatif d’une époque distincte
Projet de notre seconde partie. Chaque recueil de contes a sa physionomie propre : ainsi les novellistes italiens ont taché de sang les gauloiseries des fabliaux ; d’où un intérêt dramatique supérieur
Chaque version d’un même conte exprime, avec ses mille nuances, les idées de chaque conteur et celle des hommes à qui le conteur s’adresse. Exemples : le fabliau du Chevalier au Chainse. du xiiie siècle français au xive siècle allemand, du xive siècle à Brantôme et à Schiller, de Brantôme à M. Ludovic Halévy
Étude similaire tentée pour le fabliau de la Bourgeoise d’Orléans
l’esprit des fabliaux
I.
Examen du plus ancien fabliau conservé, Richeut
II.
L’intention des conteurs : un fabliau n’est qu’une « risée et un gabet ». De quoi riait-on ?
III.
Fabliaux qui supposent une gaieté extrêmement facile et superficielle
IV.
Fabliaux qui n’impliquent que « l’esprit gaulois » : caractéristique de cet esprit
V.
Fabliaux qui, outre l’esprit gaulois, supposent le mépris profond des femmes
VI.
Fabliaux obscènes
VII.
Les fabliaux et l’esprit satirique. — Résumé