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pour Florence. Envoyé 13 pages (273-285 incl.). »

Quelques feuillets du manuscrit portent des annotations ayant le caractère de correspondance. Au verso du feuillet 109 (envoi du 9 février), Bakounine a écrit : « Demain enverrai autant, avec lettre ». — Au verso du feuillet 121 (envoi du 11 février) : « 12 pages, 1 10-121. Lettre demain. » — Au verso du feuillet 158 (envoi du 16 février) : « 1re livraison. 1-138 pages[1]. » — Il n’y a rien d’écrit au verso des feuillets de l’envoi du 19 février, pages 139-148. — Au verso du feuillet 169 (envoi du 25 février), il a écrit : « Pages 149-169 inclusivement. Je te prie, cher ami, envoie tout le manuscrit corrigé à Ozerof, qui le demande à grands cris. En tout, avec ceci, je t’ai envoyé 89 pages (81-169). » — Au verso du feuillet 199 (envoi du 1er mars) : « Pages 170-199 inclusivement ». — Il n’y a rien d’écrit au verso de l’envoi du 9 mars, feuillets 200-246. — Au verso du feuillet 247 (envoi du 16 mars) : « 26 pages, 247-272 inclusivement. Après-demain à peu près autant. Attends ta lettre. » — Au verso du feuillet 273 (envoi du 18 mars) : « 13 pages, 273-285 inclusivement. Je pars demain pour Florence ; reviendrai dans dix jours. Adresse tes lettres toujours à Locarno. Quand pars-tu[2] ? Attends de tes nouvelles. J’embrasse Schwitz[3]. Ton M. B. »

  1. Ces mots-là doivent avoir été écrits par Bakounine plus tard, au moment où, en mai 1871, il me reprit la fin du manuscrit envoyé (feuillets 139-285), me laissant les 138 premiers feuillets, qui contenaient le texte de la première livraison, déjà imprimée, de L’Empire knouto-germanique.
  2. Bakounine avait appris par moi l’intention que j’avais eue, en février, de partir pour Paris, et l’ajournement forcé de ce projet.
  3. Adhémar Schwitzguébel, membre bien connu de l’Internationale jurassienne.