Page:Banville - Œuvres, Les Cariatides, 1889.djvu/158

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C’est l’enfant à la lyre, aux célestes amours,
Que depuis j’ai suivie, et que je suis toujours
         Dans son chemin aride.
Voilà pourquoi, souvent sur mon front fatigué,
On voit, dans les éclats du rire le plus gai,
         Grimacer une ride.


Décembre 1842.