Page:Barbey d'Aurevilly - Une vieille maitresse, tome 1.djvu/25

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versif, son livre ! mais n’y a-t-il plus à peindre, sous peine de mettre tout en péril, que des Grandissons ?… Oui, la passion est révolutionnaire, mais c’est parce qu’elle l’est, qu’il importe de la montrer dans toute son étrange et abominable gloire. C’est, au point de vue de l’Ordre, une bonne histoire à écrire que l’histoire des Révolutions.

Voilà ce que nous avions à dire à Messieurs de la Libre Pensée ! Finissons par un mot de leur Maître. Il est de viles décences, disait Rousseau.

Le Catholicisme ne les connaît pas.


Ier octobre 1865.


J. B. d’A