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Page:Barbey d’Aurevilly - Un prêtre marié, Lemerre, 1881, tome 2.djvu/29

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XVII


L e jour suivant, Sombreval, livré à l’anxiété que les dernières paroles de la Malgaigne avaient excitée dans son âme, regardait à travers la vitre d’un des grands œils-de-bœuf de ce laboratoire qu’il avait placé dans les combles élevés du Quesnay. De là, la vue s’étendait au loin dans la campagne. Il regardait involontairement du côté que la Malgaigne avait coutume de prendre, quand elle s’en venait de Taillepied ou qu’elle y retournait de Néhou.

« Si c’est elle qui doit venir chez moi, il y