Page:Barbusse - Pleureuses, 1920.djvu/36

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Puis tous les souvenirs dans un large frisson
Se relevaient, ainsi qu’une foule bénie…
Une nuit j’écoutais la lointaine harmonie
Tandis que je veillais tout seul dans ma maison…

Un homme lentement montait l’escalier sombre,
J’entendais la tristesse égale de ses pas,
Puis il s’est arrêté comme s’il était las…
Oh je veux enfouir mes rêves dans ton ombre !