Page:Barbusse - Pleureuses, 1920.djvu/51

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Oh ! ma douleur n’a pas de cesse ;
Mêlant mes amours et mes deuils,
J’irai rôder dans les écueils
Comme le vent et la tristesse.

Je suis sous le ciel désolé
Les phares tristes sur les grèves,
Je suis le silence des rêves
Parmi le désert étoilé.