Page:Barneville - Le Rythme dans la poésie française, 1898.djvu/37

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ments de notre poésie, la pensée et l’image. C’est plutôt pour la grâce du sentiment, l’imprévu charmant des métaphores que nous goûtons les Ronsard, les Marot, les Régnier. Mais le xviie siècle s’ouvre avec Malherbe. Le rythme va prendre momentanément une importance considérable.