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Page:Bauclas - Le Mort s’est trompé d’étage, 1946.pdf/146

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le mort s’est trompé d’étage

144 LE MORT S’EST TROMPÉ D’ÉTAGE Il n’a pas oublié ce que j’ai fait pour lui. Alors, au revoir, ma petite Sol ! Tu laisseras ton adresse à Julot ? >> Plus exactement, je la lui ferai parvenir. Il faut que je me tienne peinard en ce moment. J’ai fait une gaffe. Laquelle ? - }) - Peu importe. Nous avons déjà causé trop longtemps. Une bise, mon loup. » Lamblin resta rêveur. - — — L’Étoile de Flore… où est-ce que c’est ça, bon sang ? A Versailles, peut-être ? Mais vous avez sans doute pris aussi la conversation avec Julot ? Bien sûr, même que j’ai rigolé un bon coup ! Vous allez voir. Le scrupuleux Bertin, qui avait tout traduit en clair, tendit le reste de ses notes à l’inspecteur. — « Allo. C’est vous, Julot ? Ici, Mlle Solange. » — Ah ! Bonjour, mademoiselle, ça va ? Et ce vieux Victor ? Je vous téléphone de sa part. Il a essayé de vous avoir, mais vous étiez sorti. Écoutez, c’est sérieux. Il a des ennuis, il faut qu’il se débine et pour ça il a besoin de vous, que vous le conduisiez là où vous savez. Aïe alors c’est qu’il n’ose pas prendre le » ) train ! >>) — Évidemment. Alors il faut que vous soyez ce soir à 10 heures entre L’Étoile de Flore et le Car- refour des Princesses, vous voyez l’endroit ? » - Je connais, je connais. Pour sûr, que j’y serai. Victor, c’est un frère. Il vous a raconté ce qu’il a fait pour moi autrefois ? » — Non, jamais.