COMTE, à part.
Moi, ma maîtresse. (Il se lève.)
BRID’OISON, à Marceline.
Et tou-out le monde est satisfait.
LE COMTE.
Qu’on dresse les deux contrats ; j’y signerai.
Tous ensemble.
Vivat ! (Ils sortent.)
LE COMTE.
J’ai besoin d’une heure de retraite.
(Il veut sortir avec les autres.)
Scène xx
GRIPE-SOLEIL, FIGARO, MARCELINE, LE COMTE.
GRIPE-SOLEIL, à Figaro.
Et moi, je vas aider à ranger le feu d’artifice sous les grands
maronniers, comme on l’a dit.
LE COMTE revient en courant.
Quel sot a donné un tel ordre ?
FIGARO.
Où est le mal ?
LE COMTE, vivement.
Et la Comtesse, qui est incommodée, d’où le verra-t-elle l’artifice ?
c’est sur la terrasse qu’il le faut, vis-à-vis son appartement.
FIGARO.
Tu l’entends, Gripe-soleil ? la terrasse.
LE COMTE.
Sous les grands maronniers ! belle idée ! (en s’en allant, à part) Ils
allaient incendier mon rendez-vous !
SCÈNE