Page:Becque - Théâtre complet, 1890, tome 2.djvu/225

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votre couvert mis ; maintenant ce n’est plus la même chose. Je vais prévenir madame de votre visite. MERKENS Non, ne dérangez pas Mme Vigneron ; dites seulement à Mlle Judith que je suis là. Judith entre. ROSALIE Voici mademoiselle justement. JUDITH Bonjour, monsieur Merkens. Merkens salue.

ROSALIE Si ça vous va cependant, une bonne tasse de café au lait, on sera bien de force encore à vous l’offrir. JUDITH Laisse-nous, Rosalie.


Scène II

MERKENS, JUDITH. JUDITH Je vais vous faire une petite querelle d’abord, et puis il n’en sera plus question. Je vous ai écrit