deux et neuf cents pages d’orchestre. Je suis content… Cela vient assez bien. Je travaille beaucoup…[1], et ne trouve pas le temps d’orchestrer ma symphonie. À bientôt. Mille choses à G., pour vous ma meilleure affection, aujourd’hui et toujours.
Novembre 1866.
Mon cher ami,
Vos études de contre-point sont terminées ! La fugue va affermir votre style, le dégager, l’éclaircir. Courage, le plus dur est fait ! Je suis très content de votre contre-point fleuri. Il est beaucoup plus net que je ne l’espérais. Donc, à la fugue. Avant d’attaquer cette grosse affaire, je voudrais cependant vous voir composer une certaine quantité de canons. Vous me ferez aussi des sujets et des contre-sujets ! Vous rappelez-vous nos conversations de cet été ? Du reste, vous trouverez dans vos traités toutes les explications nécessaires, et puis, vous
- ↑ Un mot illisible.