Page:Botrel - Chansons de route, 1915.djvu/220

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Des bords fleuris de la Vilaine
Jusqu’à Coëtquidan
Nous pivotions gaiement
Quand la France, à travers la plaine
Nous cria, toute en pleurs :
« Au secours, ou je meurs !
» On m’assassine !
» On m’assassine !