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Page:Botrel - Chansons de route, 1915.djvu/227

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Quand, près de mon Boch’, je r’pris connaissance
On m’ félicita sur ma grand’ vaillance ;
Tout l’ mond’ rigolait ; moi, j’ pleurai d’émoi :
Le « Kamarad » fit la mêm’ chos’ que moi.

Il a la Croix d’ Fer ! Pour qu’on lui confère
Un’ pareille affair’ quoi qu’il a pu faire ?
P’t' être que l’ « Kamarad », pour avoir c’te Croix
Fit un prisonnier… la mêm’ chos’ que moi !