Page:Botrel - Contes du lit-clos, 1912.djvu/200

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Mais, en attendant Demain,
Cueillons les fleurs du Chemin.
Oublieux des immortelles…
Car, lorsque nous partirons,
Là-haut nous rajeunirons
Pour des Amours éternelles !








(Musique de Paul Delmet. — Enoch et Cie, éditeurs.)