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Page:Boulenger Marceline DesbordesValmore.pdf/108

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MARCELINE DESBORDES-VALMORE

échangés lors de leur seconde rupture ? Et peut-être un certain nombre de poésies se rapporteraient à cette troisième liaison ? Hélas ! qu’en sait-on ? Pour l’instant, tout ce que nous puissions tenir pour sûr, c’est ceci :

Mlle Des bordes fut séduite ; elle eut un enfant en 1810, qui mourut en 1816, son amant l’abandonna pour voyager en Italie ; il revint, ils renouèrent, ils rompirent ; alors Marceline pleura toute sa vie et clle fut si malheureuse qu’elle trouya dans son cæur un peu de génie.