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MARCELINE DESBORDES-VALMORE

trouve plus son nom que dans l’Almanach des Muses de 1815 (1). Etait-il en voyage ? Peutêtre ; en tout cas, je n’ai pas découvert dans ses ouvrages le moindre souvenir d’Italic. Ils ne sont pas nombreux, ses ouvrages. Ce sont, outre des vers qui n’ont pas été réunis et des discours légitimistes couronnés par la Société des Bonnes-Lettres, quelques études ct nouvelles parues en 1834 (2) et en 1839 (3), enfin des Indiscrétions et Confidences, souvenirs du théâtre et de la littérature (4). Audibert qui, tel l’ami de Marceline, avait beaucoup fréquenté dans sa jeunosse le monde des coulisses, y avait connu Talma, et il publie, dans Histoire et Roman, une interview qu’il avait « prise au grand acteur », comme on dirait aujourd’hui. Mais ce qui nous intéresse, c’est une nouvelle du même recueil, intitulée Gavino (s). (1) Page 255, Stances. (2) Histoire et Ronan (l’aris, 1834, in-8°). (3) Melanges de lillérature et d’histoire (Paris, 1839, in-8°). Même ouvrage : Louis XI, le cardinal de Retz et 7a ! ma (Paris, 1815, in-8°). (4) Paris, 1858, in-12. Il n’est point question, dans ce volumc, de M" Desbordes ni de personne de son encourage.

(5) Réimprimée dans les Mélanges de littérature et d’histoire, sous ce titre : le Marchand de Zamore.