Page:Bourdeille - Œuvres complètes, 7.djvu/464

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171-172. Éloge de la reine d’Espagne, 172-174. La reine Marguerite aux eaux de Spa ; éloges qu’en font deux Espagnols à Brantôme, 174-176. Ses malheurs ; ce qu’elle dit à Brantôme sur son peu d’ambition, 176-177.

SERMENS ET JUREMENS ESPAIGNOLS, p. 479 à 201.

Énumération de serments et jurements en usage chez les Espagnols, 179-184. Pilate ; Hérode ; saint Antoine, 184-185. Maladie de Bayard guérie par-saint Antoine, 185-186. Anecdotes d’un prédicateur espagnol ; du cardinal de Lorraine prêchant à Fontainebleau, 186-187. Anecdote de Caravajal dans une auberge de Velletri, 187-188. Anecdotes sur des mendiants, sur des amoureux, 188-189. Histoire, à la cour d’Anne de Bretagne, d’une tante de Brantôme, Jeanne de Bourdeille, et d’un cordelier qui en était amoureux, 190-192. Incendie de l’église des Cordeliers à Paris ; Mme de Pons, 192-193. Mot d’un cordelier fray Inigo à plusieurs dames, 193. Anecdote d’un cordelier et d’un jacobin ; d’une poule donnée à un curé ; anecdotes diverses, 194-197. Plaisante anecdote de M. de Grignaux à Rome, 197-199. Jurements chez différents peuples ; blasphème d’un Génois sur une galère où se trouvait Brantôme, et ce qui en advint, 200-201.

M. DE LA NOUE :
a sçavoir a qui l’on est plus tenu ou a sa patrie, a son roy ou a son bienfacteur, p. 203-265.

Commencements de M. de La Noue ; il sert en Piémont sous M. Damville ; embrasse le calvinisme ; attiré par Coligny ; son amour de l’étude ; accompagne avec Brantôme Marie Stuart en Écosse, 203-204. Il s’empare d’Orléans, 204 ; passe la Loire ; mort de M. d’Ourches, ami de Brantôme, 205. La Noue est pris à Jarnac et à Moncontour ; défait Puygaillard ; passe en Flandre et est pris dans Mons, 206-207 ; est envoyé à la Rochelle par le roi après la Saint-Barthélemy, 206-207. Il est blâmé de n’avoir pas secouru Lusignan, 207-208. Grand ami de Brantôme ; il attire Monsieur hors de la cour, 208. Le roi