Page:Bourdeille - Œuvres complètes, 7.djvu/465

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de Navarre élu chef général des huguenots ; son éloge ; est assisté par La Noue qu’il nomme surintendant de sa maison. Charge de grand maître donnée par Francois Ier à M. de Boisy, 209-210. La Noue est appelé par les révoltés des Pays-Bas ; Strozzi empêche Brantôme de le suivre, 209-210. Combat de La Noue contre Juan d’Autriche ; il fait prisonnier le comte d’Egmont, 210-211. Il est pris par le marquis de Richebourg, 211. Mort de celui-ci à Anvers. Longue captivité de La Noue qui est délivré par le moyen de MM. de Guise et de Lorraine, 212. Il défait à Senlis le duc d’Aumale, 213 ; résultat de cette victoire, 214. Accusation d’ingratitude portée par Marguerite de Valois contre La Noue, 214-215. Affection de Henri II pour La Noue qui prend les armes contre ses enfants ; Il est sauvé par Henri III après Jarnac et Moncontour, 215. Envoyé par lui à la Rochelle, il encourage les habitants à la résistance ; ses menées avec François d’Alençon, 216. Sa dure captivité en Flandre ; sa Déclaration, citée, 217-219. Comment et par qui il obtint sa liberté, 219-223. Brantôme sollicite en sa faveur Henri III, la reine Louise et M. de Mercœur, 220-221. Comment La Noue se justifie d’avoir soutenu la fille du duc de Bouillon contre son bienfaiteur M. de Lorraine qui assiégait Jamets ; discussion à ce sujet, · 222-225. Service rendu à La Noué par M. de Guise, 224-228. Il est visité dans sa prison par un gentilhomme italien, 224-226. Entretien de Brantôme et de M. de Guise, 226-227. M. de La Vallée. M. de Guise sauve les enfants de La Noue à la Saint-Barthélemy, 228. Discussion sur la question : si on est plus obligé à son bienfaiteur, à sa patrie ou à son roi, 229 et suiv. M. de Martigues obtient de Monsieur la vie de La Noue après Jarnac et Moncontour, 230. La Noue fait la guerre à ses enfants en Bretagne et est blessé mortellement devant Lamballe, 230-231. Diatribe sur l’amour de la patrie et la fidélité que l’on doit au roi, 231 et suiv. Horace, cité, 232. Ingratitude de la patrie, exemples tirés des Romains, 232. Ingratitude des rois et des princes, 233. Apologie de ceux qui ont abandonné la cause de leur patrie ; le prince de Melphe ; Pierre de Navarre ; le prince de Salerne, Virginio Orsini et autres seigneurs italiens, 234-235 ; Fabricius et Prospero Colonna ; les Angevins de Naples, 236. Bannis romains et italiens, 237. Apologie du connétable