Page:Bourdeille - Œuvres complètes, 7.djvu/466

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de Bourbon ; Ovide, cité ; le prince de Condé poursuivi par Tavannes, 238, 239. Générosité de François Ier envers les serviteurs de M. de Bourbon, 240 et suiv. Saint-Vallier, La Vauguyon, Louis d’Ars. Reconnaissance de Pompérant envers le connétable de Bourbon qui lui avait sauvé la vie, 241. Il rentre en grâce près de François Ier et meurt au royaume de Naples ; la croix blanche de France opposée à la croix rouge des Bourguignons. Trahison de Jacques de Matignon envers le connétable, 242. Au contraire de Pompérant, il est mal vu du roi et de la cour ; Charles V accueille et emploie les serviteurs du connétable, 243-246. Brantôme voit l’un d’eux, le seigneur des Guerres à Naples ; détails sur celui-ci et sur ses frères, 244. Paroles du maréchal Damville à ses serviteurs et gentilshommes au moment de prendre les armes contre le roi ; deux d’entre eux le quittent et sont mal reçus à la cour, 245-246. Gentilshommes de Monsieur l’abandonnant lors de son expédition de Flandre, bafoués à la cour et entre autres par Brantôme ; railleries au sujet de la fidélité absolue au roi ; anecdotes de Corbozon servant le roi après la mort de Condé ; de Sainte-Foy abandonnant le même prince et tué par les huguenots, 247-249. Diatribe contre le vice d’ingratitude puni chez les Égyptiens et les Perses ; Xénophon, cité. Judas ; Brutus, meurtrier de César, 250-252. Vengeance de Charles Ier d’Anjou à l’égard de Henri d’Espagne ; Collenuccio, cité. Assassinat de M. de Mouy, par Maurevel qui est tué par le fils de celui-ci, 252-254. Le comte Édouard de Savoie sauvé à la bataille de Varey par le seigneur de Sassenage qui, ayant tué le, seigneur d’Aigreville, avait été sauvé du supplice par le comte ; Paradin, cité, 255-256. Le soudan Noradin et Baudoin roi de Jérusalem ; Guillaume de Tyr, cité, 257. M. de Téligny, sauvé à Jarnac par le comte de Gayasse, 258-259. Ingratitude du marquis de Richebourg envers La Noue. 211, 259. Pompée et Perpenna, 259. Le cardinal Balue et Juan de Beauvau évêque d’Évreux, 260. Réflexions sur les ingrats ; La Noue ingrat envers Brantôme qui l’avait sauvé d’un grand danger ; Strozzi ; du Préau, 261-263. Respect que portait à son père catholique le capitaine huguenot Gremian qui avait pris Aigues-Mortes, 263-264. Excuses de Brantôme sur sa matière d’écrire, 265.