Page:Boyer d’Argens - Lettres juives, 1754, tome 3.djvu/366

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des monumens aussi superbes, & qui connoissoit à ce point les arts & les sciences, ait pu oublier totalement un événement aussi considérable que la perte de Pharaon ?

Cela nous montre combien il y a de choses que l’histoire nous laisse ignorer.

Porte-toi bien, mon cher Monceca, vis content & heureux.

Du Caire…

Fin du troisiéme volume.







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