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TABLE DES MATIÈRES. 331



SIXIÈME LEÇON
L’œuvre poétique de Sainte-Beuve.


La Tendance démocratique et la Poésie populaire. — L’imitation des lakistes anglais, — La peinture poétique de la vie réelle. — Ce que la tentative avait de légitime. — Les dangers qu’elle présentait et ce que Sainte-Beuve, qui les a bien vus, a fait pour les éviter 
 215
II 
L’Esthéticien du romantisme. — La recherche des rythmes. — La théorie de la rime forte et son utilité à son heure. — Le renouvellement du vocabulaire. — Observation sur l’argot. — Pourquoi de ses préoccupations d’art et d’humanité, Sainte-Beuve n’a rien tiré de supérieur aux Consolations 
 230
III 
L’Esthéticien du romantisme. — La recherche des rythmes. — La théorie dLa Poésie personnelle dans l’œuvre de Sainte-Beuve. — Préoccupation de soi-même. — Insignifiance habituelle des sujets. — Bizarrerie voulue des sentiments. — Du sain et du malsain dans l’art, et discussion à ce sujet. — La postérité de Sainte-Beuve 
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SEPTIÈME LEÇON
Alfred de Musset.


Comment Musset continue, complète et achève une part du dessin de Sainte-Beuve 
 255
I. 
Les premières poésies de Musset. — Elles sont d’un enfant de Paris ; — d’un vrai fils de son père, élevé dans la religion du XVIIIe siècle ; — d’un mondain et d’un dandy. — Intensité de la joie de vivre dans les premières poésies de Musset. — Le don Juan de Namouna 
 263
II. 
La poésie de l’amour dans l’œuvre de Musset. — Du caractère tragique de la passion de l’amour. — L’expression du Moi dans les Nuits. — Du caractère extraordinaire de la passion de l’amour 
 263
III. 
Les dernières poésies de Musset. — Comment le dandy et le mondain y reparaissent. — L’Épître et le Conte lyriques. — Quelques mots sur le bourgeois qu’il y avait au fond de Musset. — Opinion de Flaubert sur Musset 
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