Page:Bulletin de la société des historiens du théâtre, année 5, n°3-4.djvu/18

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48 lui que d’être construite dans la même rue Comme historien et comme vieux Parisien, le secrétaire se reconnaît doublement coupable. GLUCK ET PtCCiNM A PARIS (Snife) (VoirB~ef:nn<’l,p.lOà21) . MARTINI (le P.). Réponse à l’abbé Arnaud, 1777 (L). Il est d’accord avec lui sur Gluck. L. ne publie qu’un extrait de cette lettre et annonce une suite. Rossi (de). -Preuve sans réplique du progrès incontestable que les Français ont fait en musique. Venise et Paris, 1777 (T). Etat actuel de la musique du Roi et des trois théâtres de Paris, pour 1777. Article regrettant Lully. LESUIRE. Lettre de Camille ’M~e, ~ansset de la cathédrale d’AHcA. Paris, 1777 (T). GouDAR (A.). Le brigandage de la musique italienne. S. 1., 1777 (T). Anonyme. Problème qui occupe la capitale de la monarchie M. G~HC/e est-il plus grand musicien que Af. Pt’cctnnt’~ Paris, 1777 (T). MARMONTEL. Essai sur les révolutions de la musique ett France. Paris, 1777 (vers mai), et Œttpres posthumes: Paris, 1820 (T), (L). Hostile à Gluck. L. ajoute des commentaires naturellement hostiles à Marmontel. LA TOURAILLE. Lettre à M. le baron de la V:e!~e Croche au sujet de Castor et Pollux. S. 1. n. d. (1777) (T).