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PEINTURE DU MOYEN ÂGE.

à propos d’artistes qui n’ont d’autre originalité que celle de l’école même qu’ils représentent. L’artiste, à proprement parler, n’était pas libre ; l’école devait reproduire le cycle d’images et de pensées dans la forme


    monsehromss. rsppslsnt. 1s style du Chiostro îsnls, près 11s S. Maris. Esvslls. 1m ; L. ÎËIÜGI et ssn élèvs 1511m0 “m Mans PUIÆIAHU (sshssé en 1438). A la. Pisve [s], sur un pilisr, Saï" ! Æ’msçsis sb Saint Huminiqss pst Glor1’0.mentum. nus par îssssi. 3. ansssn [fi] 5. Gspslls : lî S. Mtshslsngsls r. rsstss de peintures murales de. s41, hïELLÜ, la Œmbm’(Es suis : Mishsf trrss Essifsfl. —Dsns 1s chœur, n11 pïsîsm]. îs ; Esfmgälistss, probablement par BIŒI m massant). SI’ŒEIM. le Heurs shss 1m. Pinficnthèqus [G] : Brlssm, Tñfiifég-LÜR.B.IGÙI, 1s. assiste Fisrgs Mafia ; sas : s de G : ss. Assise.}} S. Franst [D]. Église sspèrîsurs. 0L p. 505 et suiv. ——— Église infësisum. En : h voûte principale, fifi-ËlËËBflÈ du tsmhssu. les sfiegsriss {Te la Pauvreté. as la. filasse et de ramasse. et 1m Gïsirs ds sais : Frtmfüls par Gïù’rrn. CET. plus 1mn.) » — Dans le trmmept 110111, miss d’un grand et riche Ufltfiîïsmsm", attribue 1m} : erreur à. PIETEÜ 0H11.ng mais plutûb. —— ainsi que 1s flamme 43’s Cross h Miss au : fs—mbsœs, Sais ! Frïmçsis assassin fss stiymafss, et lss petits tableau fis La Rrssisn sur la. “mâts— s11 berceau. — 151*111 : des LDRÈÏZE’ITI, sans ümtts de Fil-.1111), l’auteur d’une : flaque 11s la. Madone firth dssx ssmrs. ——— Dans 1s trsnsspt sud, palais est sb ouest. Iss.æsss : ris Es. sur : fis Las—si sà d’s smîst lissesgsfs pas msmù. -— Gayslls 4191 Ssgrsmsntn (shaifls du transept suri) 1 Ssässs fis in sis fis sans ! .Nisaÿas et les Aÿù’l’rss par Gïsïtrxso. —— thpelîs fis Saints—Msclslsîns (tfûîsnsms shnpells â. gauche), 1s Pis de saints.alfsäsïsisas e ! dis saints MU Es FEgyprtsrms. situ- lamas ù. BUFFJJÆI m0. mais, ssîsn Grsws et Gsvslsæslïs, 41s Pswm Ususm 1… —- Ghsïpslls Albums : (abside sud fin. parshs), fins fresques d’steîisr du XI ? “ s11. uIs, faussement attribuées de même à Btsssumcs. —— Chaps’lle de Saintmsrùhl use— miÈrB simps’fls à. gauches). 1s fis du Saint : en ñis. tahîssns, l’une flss meillsmss (suffis se rénale 11s äxsrms, par 51110371 : m MABHŒD. — àn—üessus ils 1s. shslms Le i’bfcr’ùsmsmdfit de Es “Fisrgs par G’Iüfl’mo t ?) si : plusieurs figures. B. Ghïara. [E] : sur shssun {les quatre psnfisntifs ds la. vsûts fl’srëte. ulsus firunfsä Fflfltfllfiüj ED’IÆ des masquins, sautées &’ungss ;’Îfifiæüfilfifi’b nttribusss Jnrlîs ’L GIDTI’ŒÜ. Bologne.}} Pinacùthèque [F] t Ë’rïm’r'rn-j finnnssus’ssss des Saisis {11" 102, sppsrænsnt s11 lsh 1mn

    Florence


    S. Croce [G]. Dans le chœur : Agnolo Gaddi, Histoire de la Vraie Croix. Dans les dix chapelles des deux côtés du chœur : Première chapelle à droite (petite chapelle Bardi) : Vie de Saint François, œuvre excellente restituée à Giotto, et restaurée en 1853 par Bianchi. — Sur l’autel, toujours voilé, le Saint François attribué à Cimabue, mais qui est plutôt de Margaritone d’Arezzo. — Deuxième chapelle à droite (chapelle Peruzzi) : Scènes de la vie de saint Jean l’Évangéliste (à droite) et de Saint Jean-Baptiste (à gauche) par Giotto. — Troisième chapelle à droite : à demi effacé, le Combat de saint Michel et de l’arméee du ciel avec le dragon, composition grandiose, d’un auteur inconnu, — Quatrième chapelle à gauche (chapelle