Page:Cahiers de la Quinzaine, 4e série, n°5, 1902.djvu/39

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On me permettra de reproduire ici un article qui fut publié pour la première fois dans le Mouvement Socialiste, numéros 20, du premier novembre, et 21, du 15 novembre 1899. Sauf de très rares exceptions nous ne reproduisons pas les articles publiés dans les cahiers. Nous reproduisons cet article précédemment publié dans le Mouvement Socialiste parce que la région de nos abonnés actuels a, — malheureusement, — gardé peu d’éléments communs avec la région des socialistes qui en novembre 1899 lisaient le Mouvement.

Nous reproduisons cet article exactement tel qu’il fut publié la première fois. Puisqu’il porte sa date, je n’ai pas le droit de le modifier. D’ailleurs il vaut mieux, pour l’œuvre d’alors, s’en tenir à la critique pieuse d’alors. Nous n’avons pas à renier nos anciennes affections, même littéraires. Nous devons croire que la critique affectueuse et pieuse est plus intelligente que la critique raide. Elle est celle aussi qui doit paraître après la piété de la mort.