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Page:Cavallucci - Bibliographie critique de Marceline Desbordes-Valmore, tome 1.pdf/106

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POÉSIES DE 1830

92 DÉPOUILLEMENT DE L’ÉDITION DE 1830. Elle contient 140 pièces qui avaient déjà paru dans les éditions antérieures et 64 pièces nouvelles. Les pièces qui avaient été imprimées dans les éditions de 1819, 1820, 1822 et 1825, sont les suivantes : La tristesse est rêveuse, et je rêve souvent (L’ARBRISSEAU). 16 IDYLLES : POÉSIES DE 1830 L’air était pur, la nuit régnait sans voiles (LES ROSES). Me voici… je respire à peine ! (LA JOURNÉE PERDUE). Dieu qu’il est tard ! quelle surprise ! (L’ADIEU DU SOIR). O quelle accablante chaleur ! (L’ORAGE). Viens, le jour va s’éteindre… il s’efface, et je pleure (LA NUIT). L’avez-vous rencontré ? guidez-moi, je vous prie (L’ABSENCE). Comme un enfant cruel tourmente la douceur (LE MIROIR). Que ce lieu me semble attristé ! (LE RETOUR AUX CHAMPS). Repris dans l’Almanach des Dames de 1834. Que fais-tu, pauvre Hélène, au bord de ce ruisseau ? (LES DEUX BER- GÈRES). Que je suis heureuse avec toi ! (LA JEUNE ÉPOUSE). Le soleil brûlait la plaine (LE RUISSEAU). Presse-toi, vieux berger, tout annonce l’orage (PHILIS). Et moi, je n’aime plus la fontaine d’eau vive (LA FONTAINE). Ce jour si beau, ma mère, était-ce un jour de fête ? (UNE JEUNE FILLE ET SA MÈRE). Eh quoi ! c’est donc ainsi que tu devais m’attendre ? (LA VISITE AU HAMEAU). Venez, mes chers petits ; venez, mes jeunes âmes (LE SOIR D’ÉTÉ). 51 ÉLÉGIES : Qu’est-ce donc qui me trouble, et qu’est-ce que j’attends ? (L’IN- QUIÉTUDE).