Aller au contenu

Page:Cavallucci - Bibliographie critique de Marceline Desbordes-Valmore, tome 1.pdf/107

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée
93
POÉSIES DE 1830

POÉSIES DE 1830 93’Quelle soirée ! ô Dieul que j’ai souffert ! (LE CONCERT). Votre empire a troublé mon bonheur le plus doux (PRIÈRE AUX MUSES). Message inattendu, cache-toi sur mon cœur (LE BILLET). Repris dans les Femmes poètes, 1829. Je ne veux pas dormir, ô ma chère insomnie (L’INSOMNIE). Elle avait fui de mon âme offensée (SON IMAGE). Repris dans l’Alma- nach des Dames de 1827. Comme une fleur, à plaisir effeuillée (L’IMPRUDENCE). Inexplicable cœur, énigme de toi-même (LA PRIÈRE PERDUE). Reprends de ce bouquet les trompeuses couleurs (A L’AMOUR). Cette couleur autrefois adorée (LE RUBAN). Hélas que voulez-vous de moi (LES LETTRES). Qui m’appelle à cette heure, et par le temps qu’il fait ? (LA NUIT D’HIVER). Repris dans l’Almanach des Dames de 1827. Inconstance, affreux sentiment (L’INCONSTANCE). Du goût des vers pourquoi me faire un crime (A DÉLIE). Par un badinage enchanteur (A DÉLIE). Oui cette plainte échappe à ma douleur (A DÉLIE). Votre main bienfaisante et süre (LE SOUVENIR). Il est fini, ce long supplice ! (LA SÉPARATION). Adieu, mes fidèles amours ! (ADIEU, MES AMOURS). Te souvient-il, ô mon âme, ô ma vie (LA PROMENADE D’AUTOMNE). J’ai tout perdu ! mon enfant par la mort (LES REGRETS). Toi, dont jamais les larmes (A DÉLIE). Sombre douleur, dégoût du monde (LA DOULEUR). N’approchez pas d’une mère affligée (LES DEUX MÈRES). Repris dans l’Almanach des Dames de 1836. C’est en vain que l’on nomme erreur (LE PRESSENTIMENT). Repris dans le Tribut des Muses, 1825, dans les Femmes poètes, 1829 et dans la Perle s. d. J’étais à toi peut-être avant de t’avoir vu (ÉLÉGIE). Repris dans l’Alma- nach des Dames de 1831. Je m’ignorais encor, je n’avais pas aimé (ÉLÉGIE). Repris dans les Fem- mes poètes, 1829, sous l’ancien titre : les deux amours. Ma sœur, il est parti, ma sœur il m’abandonne (ÉLÉGIE), Repris dans l’Almanach des Dames de 1823 et dans l’Album des poètes contemporains, 1824.