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Page:Cavallucci - Bibliographie critique de Marceline Desbordes-Valmore, tome 1.pdf/108

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POÉSIES DE 1830

1 94 POÉSIES DE 1830 Quoil les flots sont calmés et les vents sans colère (ÉLÉGIE). Peut-être un jour sa voix tendre et voilée (ÉLÉGIE). Qui, toi, mon bien-aimé, t’attacher à mon sort (ÉLÉGIE). Repris dans l’Al- manach des Dames de 1828. Le printemps est si beau. Sa chaleur embaumée (LE PRINTEMPS). Il m’aime. C’est alors que sa voix adorée (L’ATTENTE). Ne viens pas, non. Punis ton injuste maîtresse (L’IMPATIENCE). Dans la paix triste et profonde (L’INDISCRET). Pour la douzième fois, hier, sur ma demeure (LA FÊTE). Quoi, ce n’est plus pour lui, ce n’est plus pour l’attendre (L’ISOLEMENT). Mes yeux rendus à la lumière (L’ACCABLEMENT). Quand il pâlit un soir et que sa voix tremblante (SOUVENIR). Repris dans le Chansonnier des Grâces de 1826. Ah prends garde à l’amour ; il menace ta vie (A Mile GEORGINA NAIRAC). Son image, comme un songe (SOUVENIR). Que veux-tu ? je l’aimais. Lui seul savait me plaire (A MA SŒUR). Repris dans l’Almanach des Dames de 1826 et dans l’Almanach des Dames de 1838. Qu’ai-je appris ? Le sais-tu ? Sa vie est menacée (A MA SCEUR). Vous, dont l’austérité condamne la tendresse (POINT D’ADIEU). Toujours je pleure au nom de mon enfant (SOUVENIR). "Mère, petite mère., , Il m’appelait ainsi (LE RÊVE DE MON ENFANT). Que j’aimais à te voir, à t’attendre, Albertine (ALBERTINE). Te souvient-il, ma sœur, du rempart solitaire (LA GUIRLANDE DE ROSE-MARIE). Repris dans l’Almanach des Grâces de 1826 et dans la Cou- ronne des poètes vivants, 1827 (Sous les arbres vieillis du rempart solitaire..), puis dans l’Almanach des Dames de 1838. Vous dont la voix absente enhardit mon courage (A Mme SOPHIE GAY). On avait couronné la vierge moissonneuse (LE VIEUX CRIEUR DU RHÔNE). Repris dans la Guirlande des Dames de 1825 sous le titre : L’A- veugle ou le Crieur du Rhône, et dans le Choix de poésies contempo- raines, 1829. Le vieux crieur allait contant l’histoire (LA SUITE DU VIEUX CRIEUR DU RHÔNE). Repris dans l’Almanach des Dames de 1826, et dans le Choix de poésies contemporaines, 1829.