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Page:Cavallucci - Bibliographie critique de Marceline Desbordes-Valmore, tome 1.pdf/112

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POÉSIES DE 1830

98 POÉSIES DE 1830 Il ne faut plus courir à travers les bruyères (CONTE D’ENFANT). Ohl qu’il ne fût, m’écrivait une amie (LE BILLET D’UNE AMIE). Tout perdu dans le soin de sa jeune famille (LE PÉLICAN, OU LES DEUX MÈRES). Venez bien près, plus près, qu’on ne puisse m’entendre (LE PETIT MENTEUR). Au fond d’une vallée où s’éveillaient les fleurs (LES DEUX ABEILLES). Tremblante, prise au piège et respirant à peine (LA SOURIS CHEZ UN JUGE). D’une sourde blessure encor faible et malade (FABLE IMITÉE DU RUSSE). Un bruit de fête agitait mes compagnes (LE BAL DES CHAMPS, OU LA CONVALESCENCE). Repris dans l’Almanach des Dames de 1830. La pièce de 1819 qui a été supprimée en 1820, n’a pas été reprise en 1830, non plus que les deux pièces de 1819 et 1820 supprimées en 1822. Seule l’une d’elles : Aimable chien, fidèle et bon Médor (MÉDOR) a reparu en 1836 dans l’Almanach des Dames. Sept pièces de 1822 on été également supprimées en 1830 : Adieu fauvette, adieu ton chant plein de douceur (A MA FAUVETTE). Reprise dans l’Almanach des Dames de 1830 et dans l’Almanach des Dames de 1836. Je me meurs, je succombe au destin qui m’accable (LE PARDON). Ce n’est plus une vague et trompeuse espérance (C’EST LE BONHEUR, C’EST TOI). Laure offrait à genoux (CLÉMENTINE À MARIE). Repris dans la Guir- lande des Dames de 1824 et dans les Femmes poètes, 1829 (sous le titre : Prière à Marie). Tout pour l’amour (L’ÉCHO). Reprise dans la Guirlande des Dames, 1823. Elle s’en va la douce pastourelle (LA PASTOURELLE). Reprise dans l’Al- manach des Demoiselles de 1829. Tes mépris, ton inconstance (A UN TROMPEUR). Quatre pièces de l’édition de 1825 ne se retrouvent pas non plus dans l’édition Boulland : J’eus en ma vie un si beau jour (LE BEAU JOUR). Seule avec toi dans ce bocage sombre (LE SOIR). Il était dans le monde une goutte d’eau pure (LA GOUTTE D’EAU). Salut, rivage aimé de ma timide enfance (LE RETOUR À BORDEAUX).