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208 (1 Lyon, 11 février 1829. . J’ai été très malade : six mois de fièvre, une insomnie

dévorante…, , (A Gergerès). Lyon, 16 mai 1829. "C’est vrai j’ai été malade, Gergerès, et vous êtes bien bon de vous y être intéressé. Je l’étais déjà beaucoup en vous écrivant à travers la fièvre et un abattement profond., , (Au même). Lyon, 20 octobre 1836. Je manque d’haleine, et une fièvre lente me dévore., (Au même). PAUVRES FLEURS 800 Lyon, 11 novembre 1834. "… Et il t’a embrassé autant que le souhaitait son cœur. Le mien est resté gonflé de ton départ, et j’ai eu la fièvre ; mais je l’ai revu en rêve, comme un ange qui vient consoler sa mère. (A Hippolyte). 1) (1 Lyon, 5 mai 1835. Je me promettais de te répondre vite. Une secousse nouvelle dans ma santé me l’a interdit. J’ai la fièvre…, , (Au même).

Décembre 1835. Je cherche un jour moins mélancolique depuis une semaine pour t’envoyer le cœur de ta mère dans tout son tendre courage : la fièvre et mille soins ne l’ont pas voulu. (Au même). 984 800 12 Lyon, 25 novembre 1836. Le lendemain, j’étais au lit avec la fièvre, parce que je suis trop faible pour ces luttes du cœur., , (Au même). Le 12 octobre 1841. "Les premiers froids vifs, les courses forcées et mon sort ont ramené cette fièvre qui me surmonte souvent et que, si souvent aussi, on prend pour une inégalité d’humeur, parce qu’alors je suis plus grave et que parler me tue., , (A Ondine).