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Page:Cavallucci - Bibliographie critique de Marceline Desbordes-Valmore, tome 1.pdf/281

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CONTES EN VERS POUR LES ENFANTS 267 Ecoute, oiseau, je t’aime et je voudrais te prendre (L’ENFANT AMA- TEUR D’OISEAUX). Tout perdu dans les soins de sa jeune famille (LE PÉLICAN OU LES DEUX MÈRES). Venez, mes chers petits, venez, mes jeunes âmes (LE SOIR D’ÉTÉ). Au fond d’une vallée où s’éveillaient les fleurs (LES DEUX ABEILLES). Vous voilà bien riant, mon amour quelle joie ! (LE PETIT OISELEUR). Tremblante, prise au piège et respirant à peine (LA SOURIS CHEZ UN JUGE). Un enfant avait mis les bottes de son père (LE PETIT AMBITIEUX). Enfant sois doux au pauvre. Il en est d’adorables (UN PAUVRE). Quoi Daniel, à six ans vous faites le faux brave (LE PETIT PEUREUX). C’est beau, la vie (LA MÈRE À SA FILLE). Quand j’ai grondé mon fils, je me cache et je pleure (LA MÈRE A SON FILS). Laissez entrer ce chien qui soupire à la porte (LE PETIT RIEUR). Dieu bénit les enfants qui vont vite à l’école (LE LIVRE D’UNE PETITE FILLE). Le chagrin t’a touché, mon beau garçon. Tu pleures (LE PREMIER CHAGRIN D’UN ENFANT). Couchez-vous, petit Paul. Il pleut ; c’est nuit, c’est l’heure (LE COUCHER D’UN PETIT GARÇON). Cher petit oreiller, doux et chaud sous ma tête (L’OREILLER D’UNE PETITE FILLE). Cette pièce qui, depuis qu’elle avait paru dans les Pleurs, avait été réimprimée dans l’Almanach des Dames de 1835, sera reprise dans le Trésor littéraire des jeunes personnes, 1842, dans l’Abeille poétique, 1847, sous la signature : Mme Valmore-Desbordes ; et dans la Croix d’Or, s. d. (titre : L’oreiller d’un enfant). Mon cœeur battait à peine et vous l’avez formé (ADIEU D’UNE PETITE FILLE À L’ÉCOLE). A ce recueil de contes en vers, fait suite un recueil de contes en prose. Les deux recueils ont été refondus ensemble pour former le Livre des mères et des enfants (voir le N° XIX).