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Page:Cavallucci - Bibliographie critique de Marceline Desbordes-Valmore, tome 1.pdf/297

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POÉSIES DE CHARPENTIER Du goût des vers pourquoi me faire un crime ? (A DÉLIE I). Par un badinage enchanteur (A DÉLIE II). Oui ! cette plainte échappe à ma douleur (A DÉLIE III). Votre main bienfaisante et sûre (LE SOUVENIR). Il est fini ce long supplice (LA SÉPARATION). 283 Te souvient-il, ô mon âme, ô ma vie (LA PROMENADE D’AUTOMNE). Il fait nuit, le vent souffle et passe dans ma lyre (ÉLÉGIE). Toi, dont jamais les larmes (A DÉLIE IV). N’approchez pas d’une mère affligée (LES DEUX MÈRES). C’est en vain que l’on nomme erreur (LE PRESSENTIMENT). J’étais à toi peut-être avant de t’avoir vu (ÉLÉGIE). Je m’ignorais encore, je n’avais pas aimé (ÉLÉGIE). Ma sœur, il est parti I ma sœeur, il m’abandonne ! (ÉLÉGIE). Quoil les flots sont calmés, et les vents sans colère (ÉLÉGIE). Peut-être un jour sa voix tendre et voilée (ÉLÉGIE). Qui ? toi, mon bien aimé, t’attacher à mon sort (ÉLÉGIE). Dieul créez à sa vie un objet plein de charmes (PRIÈRE POUR LUI). Il m’aima. C’est alors que sa voix adorée (L’ATTENTE). Quoi ce n’est plus pour lui ; ce n’est plus pour l’attendre (L’ISOLE- MENT). Quand il pâlit un soir, et que sa voix tremblante (SOUVENIR). Vous, dont l’austérité condamne la tendresse (POINT D’ADIEU). On avait couronné la Vierge moissonneuse (LE VIEUX CRIEUR DU RHÔNE). Le vieux crieur allait contant l’histoire (LA SUITE DU VIEUX CRIEUR DU RHÔNE). O fleur du sol natall ô verdure sauvage (LA FLEUR DU SOL NATAL). Oui, nous allons encore essayer un voyage (A MES ENFANTS). Qu’a-t-on fait du bocage où rêva mon enfance (LE BERCEAU D’HÉLÈNE). Un bruit de fête agitait mes compagnes (LE BAL DES CHAMPS OU LA CONVALESCENCE). D’où venez-vous, couple triste et charmant (LES DEUX RAMIERS). Image de la mort, effroi du tendre amour (AU SOMMEIL). Oui ! je vais le revoir, je le sens, j’en suis sûre (LE PRÉSAGE). Partil fut-elle donc pour moi seule charmante (ÉLÉGIE). Vous, à peine entrevus au terrestre séjour (AUX ENFANTS QUI NE SONT PLUS).