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284 POÉSIES DE CHARPENTIER Des roses de Lormont la rose la plus belle (REGRET). C’est ici… Pardonnez, je respire avec peine (LE RETOUR CHEZ DÉLIE). Toi que l’on plaint, toi que j’envie (ÉLÉGIE). Quand le fil de ma vie (hélas ! il tient à peine) (ÉLÉGIE). Mon beau pays, mon frais berceau (LA VALLÉE DE LA SCARPE). Salut ! rivage aimé de ma timide enfance (LE RETOUR À BORDEAUX). Quoi ! Béranger ! quoi ! l’ami de la France ! (LA PREMIÈRE CAPTIVITÉ DE BÉRANGER). Viens, mon jeune époux (L’EXIL). Il est deux Amitiés comme il est deux Amours (LES DEUX AMITIÉS). Ne me fais pas mourir sous les glaces de l’âge (PRIÈRE). 29 ROMANCES : C’était l’hiver, et la nature entière (LE SOMMEIL DE JULIEN). En vain l’aurore (LE SOIR). Non, tu n’auras pas mon bouquet (LE BOUQUET). Viens, mon cher Olivier, j’ai deux mots à te dire (L’AVEU PERMIS). Sur ce lit de roseaux puis-je dormir encore (LE RÉVEIL). O douce Poésie (A LA POÉSIE). Olivier, je t’attends ! déjà l’heure est sonnée (L’ATTENTE). Que n’as-tu comme moi pris naissance au village (LE HAMEAU). Comme une vaine erreur (L’ESPÉRANCE). Vous souvient-il de cette jeune amie (LE PREMIER AMOUR). Oui, je le sais, voilà des fleurs (L’EXILĖ). Cache-moi ton regard plein d’âme et de tristesse (LE REGARD). Il m’attend : je ne sais quelle mélancolie (LE RENDEZ-VOUS). Hélas ! que les vieillards savent de tristes choses (LES SERMENTS). Il le faut, je renonce à toi (LA SÉPARATION). Si ta marche attristée (C’EST MOI). Le soleil de la nuit éclaire la montagne (LA VEILLÉE DU NÈGRE). Bon captif, la fée Urgande (A M. DE BERANGER). Il est un bosquet sombre où se cache la rose (CHANT D’UNE JEUNE ESCLAVE). De Thalie (A Mile MARS). Non I je ne verrai plus de si belle vallée (LA VALLÉE). Regarde-le, mais pas longtemps (REGARDE-LE). Puisque tu vas, Angélique (LE CALVAIRE).