Aller au contenu

Page:Cavallucci - Bibliographie critique de Marceline Desbordes-Valmore, tome 1.pdf/379

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
365
POÉSIES INÉDITES DE 1860

27. Quand vous suiviez ma trace (POURQUOI !) En 1844, Marceline avait envoyé cette pièce à Boitel, directeur de la Revue du Lyonnais. Ces vers avaient alors pour titre : Quand j’avais quinze ans. La poétesse accompagna soon envoi d’une lettre à son vieil ami, d’où nous extrayons un passage relatif à cette poésie :

« Je n’ai que le temps de vous dire au revoir, et de fermer ce paquet où j’oubliais de vous dire que je renferme quelques vers si peu dignes d’entrer où loge l’âme de M. de Laprade. Mais qu’est-ce que cela fait ? Un peu d’ombre va bien dans un tableau. » (À Boitel, 7 février 1844. Dossier Mariéton).

28. De l’ardente cigale (CIGALE).

29. Amour, divin rôdeur, glissant entre les âmes (***).

Famille

30. Va, mon âme, au-dessus de la foule qui passe (LE NID SOLITAIRE).

Cette pièce est contenue dans l’Album n° 4 (coll. de Douai), sous le titre : Le nid (AUX JOURS D’ORIENT). Elle avait été imprimée en 1851, dans le Musée des Familles.

31. Le soleil brûlait l’ombre, et la terre altérée (SOIR D’ÉTÉ).

32. Entrez mes souvenirs, ouvrez ma solitude (LOIN DU MONDE).

33. J’appris à chanter en allant à l’école (LA FILEUSE ET L’ENFANT).

Cette pièce a été reprise en 1868 dans les Poésies de l’Enfance.

34. Oui, j’avais des trésors… j’en ai plein ma mémoire (UN RUISSEAU DE LA SCARPE).