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Page:Cavallucci - Bibliographie critique de Marceline Desbordes-Valmore, tome 1.pdf/378

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POÉSIES INÉDITES DE 1860

15. Un ami me parlait et me regardait vivre (L’AMI D’ENFANCE).

16. Il a parlé. Prévoyante ou légère (TROP TARD).

La même poésie a paru avec de la musique de Pauline Duchambge, sous le titre : Ne m’aime pas ; le texte en est très remanié.

17. Attends, nous allons dire adieu (DERNIÈRE ENTREVUE).

18. Ouvre ton aile au vent, mon beau ramier sauvage (L’ESCLAVE ET L’OISEAU).

19. Un danger circule à l’ombre (DANS L’ÉTÉ).

20. Pauvre enfant, dans un jour d’effroi (L’ENFANT TRISTE).

21. Fierté, pardonne-moi (***)

22. Qui me consolera ? — Moi seule, a dit l’étude (LE SECRET PERDU).

23. Il est de longs soupirs qui traversent les âges (AU LIVRE DE LEOPARDI).

24. Tu m’as connue au temps des roses (SIMPLE HISTOIRE).

25. Légère, on la portait ! c’était comme une fête (LA JEUNE COMÉDIENNE. À Fontenay-les-Roses).

Cette poésie se retrouve dans l’Album n° 3 (Coll. de Douai), sous le titre, raturé d’ailleurs par Mme D.-V. : « La jeune comédienne Laurence, la chanteuse à Fontenay-aux-Roses. »

26. Si ta vie obscure et charmée (CROIS-MOI).

Cette poésie avait été publiée avec de la musique de Bézard.