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Page:Cavallucci - Bibliographie critique de Marceline Desbordes-Valmore, tome 1.pdf/406

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POÉSIES INÉDITES DE 1860

392 POÉSIES INÉDITES DE 1860 titre Pleurs et fleurs ; on la retrouvera dans les Poésies de l’Enfance (1868). 79. Bonjour, la jeune fille (L’OISEAU). Cette pièce avait paru déjà en 1849, dans les Anges de la Famille. 80. Poursuivant les nuées (LES DANSES DE LORMONT). Voir la note pour la poésie intitulée A Georgina Nairac (Poésies de 1825, n° 9). 81. Ah ! la danse ! la danse ! (LA DANSE DE NUIT). 82. Eh ! pourquoi pleures— tu ! Ta colombe était vicille (LE FANEUR ET L’ENFANT). Cette pièce été réimprimée dans les Poésies de l’Enfance (1868). 83. Enfant, d’une pierre lancée (LE CHIEN ET L’ENFANT). On retrouvera cette pièce dans les Poésies de l’Enfance (1868). 84. Pardon ! n’est-ce pas vous que j’ai vu une fois (REN- CONTRE D’UNE CHÈVRE ET D’UNE BREBIS). Le deuxième vers de l’avant-dernière strophe doit se lire : "Ah ! que votre âme est molle et lente à s’enflammer !, , 85. Pourquoi vous a-t-on mis ce casque sur la tête ? (LES PROMENEURS). POÉSIES DIVERSES. 86. Ton nom au plus distrait donne de la mémoire (A. M. BOUILLY). L’académicien Bouilly disait de Marceline qu’elle était une " embaumeuse de vieillards, ,. (A. Pougin, op. cit. p. 101). "M. Bouilly, écrivait la poétesse à son oncle Constant (21 juin