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Monsieur A. H. de Favreuil possède dans sa collection plusieurs rédactions de cette poésie ; dans l’une d’elle, le poème est intitulé : Trèfle étoilé, et il est dédié : À Madame Elisa Busnach, née Rodrigues Fradin. Une autre rédaction a pour titre : l’Étoile verte

Le 6 février …, Marceline envoyait cette poésie à un directeur de journal (peut-être monsieur Duthillœul ?) en l’accompagnant du billet que voici :

« J’ai tardé longtemps, Monsieur, dans le chagrin, de répondre par cette médiocrité que je vous envoie, au don que l’on me fait d’un beau journal où j’ai lu des vers distingués de nos chers poètes. Mais vous savez que tout ce que je possédais vient d’être imprimé, et que je n’ai pas même le choix dans ces choses plus ou moins faibles que me jette un rayon de soleil ou de lune, bien rarement encore ; car d’autres soins, vous le savez aussi, me tiennent tout entière. Ne donnez donc pas ce brin d’herbe, si vous le trouvez humble par excès ; mais gardez-le comme preuve de ma fidélité à toute promesse et reconnaissance. » (Lettre inédite de la collection H. de Favreuil).

113. Ouvrez, ouvrez ! Je suis bonne nouvelle (ESPÉRANCE).

Cette pièce a été réimprimée dans les Poésies de l’Enfance (1868).

114. Caravane aux voix enflammées (LES OISEAUX).

Cette poésie se retrouve dans les Poésies de l’Enfance (1868).

115. Si porteuse d’ailes (PRIÈRE envoyée au Mont Carmel pour les prisonniers du Mont Saint Michel, 1843).

116. Les toits étaient dorés par le couchant (LE BANNI).

117. Quand les Anges entre eux se parlent de la terre. (FRAGMENT).