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Page:Cavallucci - Bibliographie critique de Marceline Desbordes-Valmore, tome 1.pdf/411

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POÉSIES INÉDITES DE 1860

105. Jardin de ma fenêtre (LALY GALINE SEULE).

Cette pièce, extrait de Pauvres Fleurs (1839), avait été réimprimée en 1840 dans la Revue de Paris, sous la signature : Valmore-D.

106. Entends-tu le canon du fort (LES DEUX MARINIÈRES).

Pièce extraite de Pauvres Fleurs (1839).

107. Si j’étais la plus belle (LA FIDÈLE).

108. J’entends sonner dimanche (UN DÉSERTEUR).

Cette romance avait été publiée en 1835 sous la forme de morceaux de musique, avec de la musique de Chassevent et de Pauline Duchambge.

Le 14 juin 1844, Marceline répondait à un correspondant qui lui avait demandé une poésie inédite : « Monsieur, rien d’inédit, rien de complet, que l’humble et dernier chant d’un soldat que je vous envoie bien tard peut-être ! Mais toutes sortes d’incidents me justifient, sans parler du regret réel que j’éprouve de n’avoir à vous offrir que ce lointain souvenir d’une prison de Flandre où j’ai vu le pauvre déserteur, qui me paraissait penser à ce que j’ai beaucoup affaibli par de petites rimes. » (Lettre inédite, Collection H. de Favreuil).

109. À toi le monde ! à toi la vie (LA PAUVRE FILLE).

110. La fileuse file en versant des larmes (FILEUSE).

111. Entends-tu sonner l’heure (LE RÊVE À DEUX).

Cette pièce figure dans l’Album n° 4 de la Bibliothèque de Douai avec le sous-titre : Aux jours d’Orient.

112. Tu fais de longs jours (LE TRÈFLE À QUATRE FEUILLES).

Cette pièce avait été publiée vers 1845 dans le Keepsake Les Marguerites ; elle y avait pour titre : Tu portes bonheur.