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Page:Cavallucci - Bibliographie critique de Marceline Desbordes-Valmore, tome 1.pdf/526

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512 TABLE DES POÉSIES D’APRÈS LEURS INCIPIT Le chagrin t’a touché, mon beau garçon. Tu pleures. — 185, 267. Le ciel est haut, la lune est rouge et pleine. — 329. Le ciel sera-t-il beau demain ? — 68. Légère, on la portait ! C’était comme une fête. — 364. L’enfant disait au nuage. — 338, 389, 407. Le printemps est si beau ! Sa chaleur embaumée. — 60, 94. Les enfants sont venus vous demander des roses. — 389, 408. Les femmes, je le sais, ne doivent pas écrire. – 347. Les flots plus mollement portent les matelots. — 315. Le soir en chantant sur ma lyre. — 444. Le soleil brûlait d’ombre, et la terre altérée. — 365. Le soleil brûlait la plaine. —39, 92, 282. Le soleil de la nuit éclaire la montagne. —69, 97, 132, 284. Les rumeurs du jardin disent qu’il va pleuvoir. — 349. Les toits étaient dorés par le couchant. — 398. Les voilà, ces couleurs peintes dans ma mémoire. Lève sur tes genoux ta plus petite fille. — 390, 406. Levez-vous de bonne heure, enfants, disait un sage. — 121, 132, 407. Le vieux crieur allait contant l’histoire. — 66, 94, 132, 283. Le voilà cet écrit qu’ont demandé mes larmes. — 105. L’haleine d’une fleur sauvage.-318, 286. L’harmonie et les fleurs. —244. - L’heure du bal enfin se fait entendre ! -52, 96. L’orage avait grondé, ma tête était brûlante.— 368. L’orage de tes jours a passé sur ma vie. — 305. Lune ! Blanche figure assise à l’horizon. — 320. Ma bergère chérie. — 444. Ma demeure est haute. — 296. 447. Maison de la naissance, ô nid, doux coin du monde. — 202. Malheur à moi ! je ne sais plus lui plaire. — 155, 285. Maman, comme on grandit vite. — 337, 391, 406. Ma mère, entendez-vous quand la lune est levée. — 382.