TABLE DES POÉSIES D’APRÈS LEURS INCIPIT 513 Ma mère est dans les cieux, les pauvres l’ont bénie. —385, 409. Marguerite, fleur de tristesse. —34, 418. Ma sœur, il est parti ! ma sœur il m’abandonne ! -49, 93, 283. Ma sœur, il ne faut me blâmer. — 124. Ma sœur m’aimait en mère : elle m’apprit à lire.-295, 409. Mère, faut-il donner quand le pauvre est bien laid ? -245, 266, 405. Mère, je veux crier et faire un grand tapage. — 337, 389, 405. Mère, petite mère. Il m’appelait ainsi. —63, 94, 132. Mère, un cheval est à la porte. — 389, 407. Message inattendu, cache-toi sur mon cœur.-19, 52, 93, 282. Mes yeux rendus à la lumière. —60, 94. Me voici… je respire à peine.-40, 92, 399. Minuit ! L’année expire, et l’année est éclose. — 101. Mon beau pays, mon frais berceau. — 112, 132, 284, 410. Mon cœur battait à peine, et vous l’avez formé. — 183, 267, 286, 406. Mon Dieu ! ce que j’entends si suave en moi-même. — 187. Mon Dieu, que c’est beau le baptême. — 326, 409. Mon saint amour ! mon cher devoir ! -300. Mon seul amour ! embrasse-moi. — 126, 285. Muse à la voix d’enfant ! quelle route épineuse. — 174. Nacelle abandonnée. — 171. N’a plus pouvoir dormir tout près toi dans cabane. — 31, 42, 55. N’approchez pas d’une mère affligée.-27, 93, 132, 283. Ne le croyez, si l’on vous dit un jour… —32, 446. Ne me fais pas mourir sous les glaces de l’âge. — 123, 284. Ne me plaignez pas, madame ! -309. N’entend-elle jamais une voix me défendre.-306. Ne t’en va pas, reste au rivage. — 178. Ne viens pas, non ! Punis ton injuste maîtresse. —60, 94. Ni du furtif oiseau la voix mélodieuse. – 164. N’irai-je plus courir dans l’enclos de ma mère. — 158, 286. Non, ce n’est pas l’été dans le jardin qui brille.— 217.