Aller au contenu

Page:Cavallucci - Bibliographie critique de Marceline Desbordes-Valmore, tome 1.pdf/529

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

A TABLE DES POÉSIES D’APRÈS LEURS INCIPIT Qui ! cette plainte échappe à ma douleur. — 25, 93, 283. Oui, d’une flamme à part cette âme fut formée. — 175. Oui, j’avais des trésors… j’en ai plein ma mémoire.-365. Oui, je le sais, voilà des fleurs.-31, 95, 281. Oui ! Je vais le revoir, je le sens, j’en suis sûre. — 104, 283. Qui, nous allons encore essayer un voyage. — 100, 132, 283. Oui, vous avez un ange, un jeune ange qui pleure. —214. Où t’a-t-on vu, poète à la voix douloureuse. — 312. Où vas-tu, fille chérie.-374, 409. Ouvre-toi, cœur malade ! et vous, lèvres amères. — 164. Ouvre ton aile au vent, mon beau ramier sauvage. — 364. Ouvrez, ouvrez ! je suis bonne nouvelle. — 398, 407. Ouvrez ! qui frappe à l’heure. — 179. Paganini ! doux nom qui bat sur ma mémoire. —447. Pardonnez-moi, seigneur, mon visage attristé. — 388. Pardon ! n’est-ce pas vous que j’ai vu une fois. — 392. Parmi les biens perdus dont je soupire encore. —448. Par mon baptême, ô ma mère. —54, 97, 133. Partez, Arnold ! faites un long voyage.-250. Parti ! Fut-elle donc pour moi seule charmante. — 105, 283. Partir ! tu veux partir ! ta voix chère et cruelle. — 155. Par un badinage enchanteur. —22, 93, 283. Par un rêve dont la flamme. — 386. Pasteur ! est-il loin encore. — 256. Pauvre enfant, dans un jour d’effroi. — 364. Pauvre exilé de l’air ! sans ailes, sans lumière. — 166, 410. Pays des noirs, berceau du pauvre Arsène. — 444. Pèlerine, où vas-tu si tard ? -31, 96. Petit ange, dernier venu. — 148. Petit portrait, tourment de mon désir. – 28, 95. Petits enfants, vos jeunes yeux. — 178, 286. Petits oiseaux dont le ramage. — 445. 515