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Page:Cavallucci - Bibliographie critique de Marceline Desbordes-Valmore, tome 1.pdf/530

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TABLE DES POÉSIES D’APRES LEURS INCIPIT Peut-être un jour sa voix tendre et voilée. —51, 94, 283. Peux-tu dormir, paresseuse bergère. — 34. Pitié de moi ! j’étais l’eau douce. — 349. 516 Pleurez, comptez les noms des bannis de la France. — 386. Pour aller en Galice. — 125. Pour Dieu ! mon amie. — 174. Pour la douzième fois, hier, sur ma demeure. — 60, 94. Pour me plaindre ou m’aimer, je ne cherche personne. — 251, 309. Pour que tu sois de Dieu l’aimée. — 320. Pourquoi demander l’heure ? eh ! qu’importe comment ! — 327. Pourquoi vous a-t-on mis ce casque sur la tête ? — 392. Poursuivant les nuées. — 392. Pourtant, mon dieu ! ce monde est plein de belles choses. — 240. Pour trouver le bonheur, je me ferais bergère. —41, 95. Prends ce rameau, jeune fille. — 178. Presse-toi ; vieux berger, tout annonce l’orage. — 39, 92, 282. Prête à s’élancer joyeuse. —39, 97, 133, 285. Prompt ramier, fleur des toits, d’où viens-tu ce matin ? -315. Puisque c’est toi qui veux nouer encore.-250. Puisque l’enfance envolée. — 296. Puisque la vierge vous défend. —328, 406. Puisque tu vas, Angélique. — 124, 284. Qu’ai-je appris, le sais-tu ? sa vie est menacée. — 62, 81, 94. Quand il pâlit un soir et que sa voix tremblante.— 60, 84, 94, 283. Quand j’ai gronde mon fils, je me cache et je pleure.— 215, 267, 287, 408. Quand j’entendais le soir. —445. Quand je me sens mourir du poids de ma pensée. — 104. Quand je ne te vois pas, le temps m’accable, et l’heure. — 1.48, 285. Quand je sens entre nous la cité tout entière. — 154. Quand je t’écris à l’ombre du mystère. —28, 95. Quand je touche, rêveuse, à ces feuilles sonores.-301.