Page:Cavallucci - Bibliographie critique de Marceline Desbordes-Valmore, tome 1.pdf/67

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POÉSIES DE 1822 53 Douze romances, parues dans les deux éditions antérieures, avaient été publiées à nouveau, entre temps, dans les almanachs : Viens, mon cher Olivier, j’ai deux mois à te dire (L’AVEU PERMIS) dans l’Almanach des Muses de 1821. O ma vie (DORS, MA MÈRE), dans le Souvenir des Ménestrels de 1821, avec musique de Caroline Martainville. Sur ce lit de roseaux puis-je dormir encore (LE RÉVEIL CRÉOLE) dans l’Hommage aux Dames de 1822, sous le titre : ROMANCE. Embellissez ma triste solitude (IL VA PARLER) dans la Lyre française, 1822, avec musique de Lechallier, et sous le titre : GAGE D’AMOUR. O douce poésie (A LA POÉSIE), dans l’Almanach des Demoiselles de 1822, sous le titre : STANCES A LA PŒSIE (signée : Mme Marceline Desbordes). Comme une vaine erreur (L’ESPÉRANCE), dans la Lyre française, 1822, avec musique d’Ed. Brugnière, sous le titre : O DOUCE CHIMÈRE. Quand l’amitié tremblante (REPRENDS TON BIEN), dans la Guir- lande des Dames de 1821, où elle est dédiée " à M. le docteur Alibert „, ; cette pièce est accompagnée d’une musique de F. Dupierge. Avec ta gente mie (LE TROUBADOUR EN VOYAGE), dans l’Hom- mage aux Dames de 1820. Tout pour l’amour (L’ÉCHO), dans l’Almanach des Demoiselles de 1822 (signée : Dame Desbordes Valmore). Distraite et malheureuse (CLEMENTINE), dans le Chansonnier des Graces de 1820. Ah ! que le monde est difficile (L’ÉTRANGÈRE) dans le Chansonnier des Graces de 1821 et dans la Lyre française, 1822, avec musique de J. B. Woët. La romance Sur ce lit de roseaux, puis-je dormir encore est intitulée dans cette édition : LE REVEIL, au lieu de : RÉVEIL CRÉOLE (1820). Tes mépris, ton inconstance (A UN TROMPEUR) devient : LE VŒU. Laure offrait à genoux (LA PRIÈRE DE LAURE) devient : LA PRIÈRE. CINQ" POÉSIES DIVERSES, (12-16) : 12. A l’heure où s’éteignait le chant de l’alouette (LE PASTEUR).