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Page:Cavallucci - Bibliographie critique de Marceline Desbordes-Valmore, tome 1.pdf/74

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60 POÉSIES DE 1825 Enregistré dans la Bibliographie de la France le 11 dé- cembre 1824 (1). ÉDITION ORIGINALE, contenant 56 pièces, toutes inédites en volume, soit : VINGT ÉLÉGIES (1-20) : 1. Le printemps est si beau ! Sa chaleur embaumée (LE PRINTEMPS). 2. Il m’aima. C’est alors que sa voix adorée (L’ATTENTE). En juin 1833, son ami Gergerès s’entremit pour faire im- primer cette pièce dans La Gironde, la nouvelle revue bor- delaise de Lacour. 3. Ne viens pas, non ! Punis ton injuste maîtresse (L’IM- PATIENCE). 4. Dans la paix triste et profonde (L’INDISCRET). Le secret de Marceline fut connu, sans doute, de bien des gens, qui n’avaient rien de plus pressé que d’entretenir la pauvre femme des tromperies de son amant. Pour la première fois, Marceline se laisse ici emporter par la colère, jusqu’à réunir dans ses malédictions l’amant et l’indiscret et leur re- procher amèrement le mal qu’ils lui font. E. Géraud, poète et critique bordelais, a parlé de cette élégie dans les Annales de la Littérature et des Arts du 12 février 1825. 5. Pour la douzième fois, hier, sur ma demeure (LA FÊTE). 6. Quoi ! ce n’est plus pour lui, ce n’est plus pour l’at- tendre (L’ISOLEMENT). 7. Mes yeux rendus à la lumière (L’ACCABLEMENT). 8. Quand il pâlit un soir et que sa voix tremblante (SOU- VENIR). (1) "No 6547. Élégies et poésies nouvelles. Par Mme Desbordes-Valmore. In-18 de 7 feuilles. Imprim de F. Didot, à Paris. A Paris, chez Ladvocat. 22