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Page:Cavallucci - Bibliographie critique de Marceline Desbordes-Valmore, tome 1.pdf/82

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68 POÉSIES DE 1825 VINGT-TROIS ROMANCES (25-47) : 25. Dans la foule, Olivier, ne viens plus me surprendre (LE SECRET). Parue dans le Chansonnier des Grâces de 1825. 26. J’eus en ma vie un si beau jour (LE BEAU JOUR). 27. Qu’as-tu fait d’un aveu doux à ton espérance ? (LA JALOUSIE). 28. Il m’attend : je ne sais quelle mélancolie (LE RENDEZ- VOUS). Parue d’abord dans le Chansonnier des Grâces de 1825. M. Bertrand Guégan a bien voulu nous remettre une lettre de M. Quidant relative à cette romance, lettre qu’il tenait de son cher et regretté ami Albert Caplain. "Je tiens de mon père, écrit M. Quidant, une petite aventure romanesque que l’auteur de mes jours eut avec Marceline Desbordes-Valmore. La voici : "En 1840, un jeune musicien s’éprit follement de Marce- line qui, elle ne partageant nullement cet amour insensé, envoya une charmante pièce de vers à son adorateur. Mais le piquant de l’aventure est l’esprit avec lequel la tendre et douloureuse Marceline choisit le titre : Il m’attend. Hélas ! c’est ce que fit toute sa vie l’infortuné amoureux, qui pour se consoler mit en musique la romance… Albert Caplain possédait, en effet, cette romance, qui portait la signature d’Alfred Quidant. " 29. Seule avec toi dans ce bocage sombre (LE SOIR). 30. Hélas ! que les vieillards savent de tristes choses ! (LES SERMENTS). 31. Il m’a demandé l’heure, oh ! le triste présage (BONSOIR). 32. Dans sa course brûlante (L’ORAGE). 33. Le ciel sera-t-il beau demain ? (QUE JE TE PLAINS).