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Page:Cavallucci - Bibliographie critique de Marceline Desbordes-Valmore, tome 1.pdf/83

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POÉSIES DE 1825 69 34. Il le faut, je renonce à toi (LA SÉPARATION). 35. Si ta marche attristée (C’EST MOI). 36. Un moment suffira pour payer une année (UN MOMENT). 37. Hélas ! que je dois à vos soins ! (LA RECONNAISSANCE). Parue d’abord dans la Collection de romances chanson- nettes et nocturnes de A. Romagnési (2e volume, 1824), sous le titre La pénible reconnaissance, puis en 1825 dans l’Album lyrique, avec la même musique. 38. S’il avait su quelle âme il a blessée (S’IL AVAIT SU). 39. Désirer sans espoir (ON ME L’A DIT). 40. Sans oublier, on peut fuir ce qu’on aime (SANS OUBLIER). 41. Heureuses pastourelles ! (CELLE QUI NE RIT PAS). 42. Je ne sais plus d’où naissait ma colère (JE NE SAIS PLUS, JE NE VEUX PLUS). 43. Le soleil de la nuit éclaire la montagne (LA VEILLÉE DU NÈGRE). Publiée d’abord dans le Souvenir des Ménestrels de 1824, sous le titre Le naufragé, avec musique de Ch. Plantade ; puis dans l’Hommage aux Dames de 1825 et dans les Annales romantiques de 1825. Dans l’Album n° 7 de la Bibliothèque de Douai, au feuillet 77 il y a un dessin que Constant Des- bordes a exécuté pour " Le naufragé ou la veillée du nègre „i ce dessin est daté de septembre 1823. 44. Bon captif, la fée Urgande (A M. BÉRANGER). "Poursuivi devant la Cour d’Assises de la Seine pour les chansons anti-royalistes et anti-cléricales de son second recueil (Chansons, 1821, 2 volumes, in-18), Béranger avait été con-