des tubiformes avec celle des polypes à bouquet, on leur trouvera de grands rapports.
Mais ; la premiére différe de la seconde par une particularité essentielle : le polype à bouquet se contracte avant que de se partager ; & le tubiforme ne paroît point du tout se contracter avant que de se diviser.
On comprend bien, que chaque moitié du tubiforme, qui vient de se partager, & qui est devenuë elle-même un tubiforme parfait, peut se partager à son tour, & elle se partage en effet.
De ces divisions naturelles & successives naissent des grouppes plus ou moins nombreux de tubiformes : aussi ces êtres singuliers sont-ils fort multipliés dans les eaux.
Parmi ces tubiformes on en remarque de beaucoup plus courts les uns que les autres ; ce qui porteroit à soupçonner, qu’ils se divisent encore transversalement.